31 mars 2005
Le sommeil
Etendue dans les draps de soie
Roses pourpres, blancs et lilas,
Ses délicates paupières,
Vont se refermer dans un sommeil éphémère,
Ses forces la quittent doucement,
Sa tete retombe sur l'oreiller de plumes de faisan.
Elle ne songe plus à se lever,
Mais seulement à se laisser aller !
Bientot les bras de Morphée l'appellent,
Elle se sent pousser des iles,
La transportant au pays des reves,
Pendant cette trève,
Où elle s'évadera sans y penser,
Là où elle a toujours voulu se trouver.
Elle ne veut plus se lever,
Mais juste se laisser aller !
Publicité
Publicité
Commentaires